1. La centrale à charbon de San Pedro en Côte d'Ivoire ne verra probablement jamais le jour, car elle a été abandonnée par les autorités ivoiriennes dans leur plan étatique non contraignant listant les actions climatiques à venir d'ici à 2030.
2. Les raisons de cet abandon sont multiples : la pression internationale post-COP26, l'absence de matière première pour produire du charbon localement, les coûts écologiques importants liés à l'importation de charbon et la forte opposition des activistes du climat.
3. La centrale à charbon sera remplacée par une centrale à gaz, sur un modèle similaire à celui de la zone industrielle d'Azito à Yopougon, qui devrait être moins coûteuse et produire moins d'impact environnemental.
L'article traite de l'abandon du projet de centrale à charbon à San Pedro en Côte d'Ivoire, qui aurait dû être construit par l'entreprise chinoise PowerChina et exploitée par la société ivoirienne S.Energies. L'article souligne que cet abandon est lié aux pressions exercées sur le gouvernement ivoirien après la COP26, ainsi qu'à des considérations économiques et environnementales. Le texte mentionne également que la centrale sera remplacée par une centrale à gaz.
Cependant, l'article présente certains biais potentiels. Tout d'abord, il ne fournit pas suffisamment de preuves pour étayer les affirmations selon lesquelles le projet de San Pedro aurait été abandonné en raison des pressions exercées après la COP26. De plus, l'article ne présente pas les arguments des partisans du projet de centrale à charbon ou ceux qui soutiennent que le gaz n'est pas une alternative viable.
En outre, l'article ne mentionne pas les coûts économiques associés au remplacement de la centrale à charbon par une centrale à gaz. Il ne fournit pas non plus suffisamment d'informations sur les impacts environnementaux potentiels associés à la construction d'une centrale à gaz.
Enfin, l'article semble promouvoir les énergies renouvelables sans fournir suffisamment d'informations sur leur faisabilité et leur coût réel dans le contexte ivoirien.
Dans l'ensemble, bien que l'article fournisse des informations utiles sur l'abandon du projet de San Pedro en Côte d'Ivoire, il présente certains biais potentiels et manque de considération pour certains aspects importants du sujet.