1. Des chercheurs allemands ont quantifié la densité de microplastiques dans la glace de mer arctique et leur travail a été publié dans Nature Communication.
2. Les carottages effectués ont révélé une concentration des centaines de fois supérieure à celles mesurées dans l’eau de mer, et les polymères identifiés proviennent principalement des zones côtières sibériennes et du grand vortex de déchets du Pacifique Nord.
3. Le réchauffement climatique pourrait entraîner une fonte massive de la banquise, ce qui augmenterait encore plus le taux de pollution par le plastique.
L'article est généralement bien documenté et présente un bon aperçu des effets nocifs que la pollution par le plastique peut avoir sur l'environnement arctique. Il fournit également des informations sur les sources possibles du plastique, notamment les zones côtières sibériennes et le grand vortex de déchets du Pacifique Nord.
Cependant, il y a quelques points à considérer pour améliorer la fiabilité et la crédibilité de l'article. Tout d'abord, il ne mentionne pas explicitement les risques potentiels pour la santé humaine liés à l'exposition aux microplastiques, bien qu'il existe des preuves scientifiques montrant que ces particules peuvent être toxiques pour les humains [source: https://origin-fr.ngeo.com/environnement/2018/06/microplastiques-quels-risques-pour-la-sante]. De plus, l'article ne mentionne pas non plus les moyens possibles pour réduire ou éliminer complètement la pollution par le plastique en Arctique ou ailleurs dans le monde. Enfin, il n’explore pas non plus les contre-arguments possibles à sa thèse principale selon laquelle le réchauffement climatique entraînera une fonte massive de la banquise et donc une augmentation du taux de pollution par le plastique en Arctique.