1. Alan Jope, le dirigeant du géant britannique Unilever, a dû démissionner sous la pression des actionnaires qui jugeaient sa performance trop faible et son accent mis sur la mission durable de l'entreprise trop fort.
2. Les attaques contre le management d’Unilever se sont accentuées depuis le rachat avorté de la branche santé de GSK début 2022.
3. Deux actionnaires, les fonds Bluebell Capital et Artisan Partners, ont demandé le départ du dirigeant, au motif que l’action du groupe français n’était pas aussi bien valorisée que celle de ses pairs.
L'article est globalement fiable et bien documenté. Il fournit une analyse complète des raisons pour lesquelles Alan Jope a été contraint à la démission et explique en quoi cela est similaire à ce qui est arrivé à Emmanuel Faber chez Danone. L'article cite également plusieurs sources pour appuyer ses affirmations, notamment les lettres envoyées par Terry Smith aux actionnaires d'Unilever et les commentaires des analystes financiers sur l'opération ratée de rachat de GSK par Unilever.
Cependant, il y a quelques points à considérer : l'article ne mentionne pas explicitement si les critiques des actionnaires activistes étaient justifiées ou non ; il ne donne pas non plus un compte-rendu exhaustif des arguments présentés par Alan Jope pour justifier sa stratégie ; enfin, il ne mentionne pas si Unilever a réagi aux critiques des actionnaires activistes ou non.